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► Ouvrage de grammaire du sanskrit – 3 P | ||||||||
Pages dans la catégorie « Grammaire du sanskrit » | ||||||||
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Grammaire du sanskrit | ||||||||
A | ||||||||
Accentuation védique | ||||||||
Avagraha | ||||||||
D | ||||||||
Daṇḍa | ||||||||
M | ||||||||
Morphologie du sanskrit | ||||||||
S | ||||||||
Sandhi | ||||||||
Sandhi en sanskrit | ||||||||
Śiva sūtra | ||||||||
Syntaxe du sanskrit | ||||||||
V | ||||||||
Vakyapadiya | ||||||||
Virāma | ||||||||
Visarga | ||||||||
Vyakarana | ||||||||
Grammaire du sanskrit | ||||||||
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dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou
« Liens externes » (décembre 2010). |
Voici le tableau des caractères de l'alphabet (akṣarasamāmnāya-) classés selon l'ordre traditionnel utilisé par les dictionnaires, en Translittération genevoise : | |||||||
Vous pouvez améliorer la vérifiabilité en associant ces informations à des références à l'aide d'appels de notes. | a ā i ī u ū ṛ ṝ ḷ | |||||||
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e ai o au | |||||||
ḥ ṃ | ||||||||
La grammaire du sanskrit comprend, au sens strict, la morphologie et la syntaxe de la langue sanskrite. La morphologie décrit la formation des mots de cette langue, la syntaxe étudie l'agencement de ces mots dans les phrases. | k kh g gh ṅ | |||||||
c ch j jh ñ | ||||||||
ṭ ṭh ḍ ḍh ṇ | ||||||||
Sommaire | t th d dh n | |||||||
1Prolégomènes | p ph b bh m | |||||||
2Sciences propédeutiques | y r l v | |||||||
2.1Histoire du sanskrit | ś ṣ s h | |||||||
2.2Phonologie du sanskrit | ||||||||
2.3Écritures du sanskrit | ||||||||
2.4Philologie du sanskrit | ||||||||
3Grammaire | ||||||||
3.1Morphologie | ||||||||
3.1.1Racines | ||||||||
3.1.1.1Lexème | ||||||||
3.1.1.2Alternances vocaliques | ||||||||
3.1.1.3Mots-racine | ||||||||
3.1.2Thèmes | ||||||||
3.1.2.1Dérivation | ||||||||
3.1.3Mots | ||||||||
3.1.3.1Flexion nominale | ||||||||
3.1.3.2Flexion verbale | ||||||||
3.1.3.3Mots invariables | ||||||||
3.2Syntaxe | ||||||||
3.2.1Composition nominale | ||||||||
4Notes et références | ||||||||
5Voir aussi | ||||||||
5.1Bibliographie | ||||||||
5.1.1Ouvrages généraux | ||||||||
5.1.2Grammaires | ||||||||
5.1.3Lexiques | ||||||||
5.2Article connexe | ||||||||
5.3Liens externes | ||||||||
Prolégomènes[modifier | modifier le code] | ||||||||
L'étude de la grammaire du sanskrit permet de mieux comprendre les citations en sanskrit que présentent les articles relatifs à la culture indienne, et prépare la lecture d'une vaste littérature rédigée en sanskrit. Un survol de l'évolution de la langue qui se figea dans le sanskrit classique, la découverte de ses systèmes d'écriture, et un hommage rendu aux grammairiens qui transmirent ce savoir de l'antiquité à nos jours, préparent l'exposé de cette grammaire1. | ||||||||
Sciences propédeutiques[modifier | modifier le code] | ||||||||
Suivre l’évolution de la langue du proto-hittite jusqu'au hindi contemporain, étudier la phonologie du sanskrit, se tourner ensuite vers les écritures du sanskrit et ses transcriptions, se souvenir enfin de quelques érudits anciens et modernes, permet d'aborder avec fruit la grammaire du sanskrit. | ||||||||
Histoire du sanskrit[modifier | modifier le code] | ||||||||
L'histoire du sanskrit couvre trois grandes périodes détaillées dans l'article en épigraphe. | ||||||||
Paléo-indien du hittite au védique, | ||||||||
Méso-indien du préclassique au classique, | ||||||||
Néo-indien du sanskrit aux langues indiennes contemporaines. | ||||||||
Phonologie du sanskrit[modifier | modifier le code] | ||||||||
La phonétique du sanskrit est l'étude des sons élémentaires de cette langue. | ||||||||
L'orthophonie (bonne prononciation) | ||||||||
La phonologie est la science qui élabore une théorie des phonèmes. Elle nomme phonèmes les sons élémentaires, abstraits d'une langue (ici, du sanskrit), étudiés en fonction de leurs points d'articulation, de leurs modes d'émission, de leurs durées, et cela sans tenir compte de leurs valeurs grammaticales ou sémantiques. | ||||||||
Le premier phonologue (connu) du sanskrit fut le grammairien Pāṇini, qui discrimina dans l'ensemble des 46 sons fondamentaux de sa langue deux groupes de phonèmes : les vocaliques et les consonantiques. | ||||||||
Écritures du sanskrit[modifier | modifier le code] | ||||||||
Les langues indiennes utilisent diverses écritures, la plus courante étant la devanāgarī. La difficulté d'imprimer les caractères nāgarī- en Occident imposa aux érudits européens l'usage de diverses translittérations et transcriptions. Le moyen international d'écrire sanskrit est l'IAST. | ||||||||
Philologie du sanskrit[modifier | modifier le code] | ||||||||
Différents érudits anciens et modernes s'attachèrent à l'étude du sanskrit. Des grammairiens indiens d'époque ancienne, des philologues indiens modernes, mais aussi de nombreux philologues occidentaux répertoriés dans l'article en épigraphe. | ||||||||
Grammaire[modifier | modifier le code] | ||||||||
La grammaire du sanskrit étudie la morphologie et la syntaxe de la langue sanskrite. | ||||||||
Morphologie[modifier | modifier le code] | ||||||||
La morphologie étudie successivement les racines, les thèmes et leurs dérivations primaire et secondaire, les flexions nominale et verbale, et les mots invariables. | ||||||||
Racines[modifier | modifier le code] | ||||||||
Lexème[modifier | modifier le code] | ||||||||
La racine est l'élément fondamental du mot sanskrit. Sa structure est ternaire et comprend généralement une initiale consonantique, une vocalisation, et une finale consonantique (e.g. TUD-). À quelques racines manquent un ou deux de ces trois éléments théoriquement constitutifs de la racine (e.g. AD-, DHÂ-, I- ,). Le tiret qui suit la racine marque l'absence de terminaison grammaticale nécessaire pour que le mot puisse fonctionner dans le contexte (samhitâ) d'une phrase. | ||||||||
Alternances vocaliques[modifier | modifier le code] | ||||||||
En sanskrit une racine se présente sous la forme C1VC2 où C représente une consonne et V une voyelle. La voyelle peut présenter trois degrés consistant en l'ajout d'un a qui se combine à la voyelle de base . Par exemple, pour une voyelle de base i (degré zéro ou faible ou réduit), le degré plein (ou fort) est a + i qui devient e. Le degré accru (ou long) est a + e qui devient la diphtongue notée ai (à prononcer comme le mot français ail). De même avec un degré réduit u le degré plein est o (a + u) et le degré accru au (diphtongue à prononcer comme l'allemand au). Avec un degré réduit a, les choses se brouillent un peu car le degré plein est ā (a long) semblable au degré accru. Enfin quatre sons pouvaient, dans la période antérieure au sanskrit, prendre une valeur vocalique ou consonantique. Il s'agit de r, l, n et m (formes consonantiques). En sanskrit les formes vocaliques des deux premières se sont maintenues et s'écrivent ṛ et ḷ (r ou l avec un point souscrit) actuellement prononcées comme un r ou un l suivi d'un i court ou d'un u court). Les nasales, n et m, sont devenues toutes les deux a en sanskrit. Les degrés pleins sont alors ar, al, an, am (n et m refaisant leur apparition) et les degrés accrus ār, āl, ān, ām. Les alternances vocaliques interviennent dans la dérivation et la morphologie (conjugaison et déclinaison). | ||||||||
Mots-racine[modifier | modifier le code] | ||||||||
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Thèmes[modifier | modifier le code] | ||||||||
Dérivation[modifier | modifier le code] | ||||||||
Dérivation primaire L'utilisation d'affixes permet de créer des mots nouveaux en partant de la racine. Ces affixes sont des préfixes (e.g. adhiKAR-) des infixes (e.g. BHInaD-) ou des suffixes (e.g. MANana-). Ces mots dérivés ont un sens plus spécifique que celui, très général, de la racine. L'utilisation d'affixes permet au mot de passer de l'état de racine à l'état de thème (déclinable ou conjugable selon les règles de flexion décrites ci-après). | ||||||||
Dérivation secondaire La dérivation secondaire est analogue (utilisation d'affixes) mais part d'un dérivé primaire et non de la racine. Ce mode de dérivation permet entre autres de passer d'un dérivé primaire masculin à son dérivé secondaire correspondant féminin. (e.g. DÂtr.- DÂtrî-) | ||||||||
Mots[modifier | modifier le code] | ||||||||
La lexicologie conçoit chaque mot (lemme) comme un radical (lexème) entouré d'affixes. La racine sanskrite est l'élément fondamental du radical-lexème. La mentalité védique ne séparait pas les notions de signifiant et signifié. Les mots védiques n'étaient pas conçus comme des étiquettes apposées à des objets. Un "pouvoir dynamique" se manifeste dans l'élocution de chaque mot sanskrit, infusé en lui par cette syllabe fondamentale que nous nommons racine. Ce pouvoir s'incarne dans un corps humain vivant qui prononce des syllabes puissantes modulées par les affixes qui lui donnent l'aspect des mots d'un chant magique très fortifiant (telle est la fonction des chandas du rigveda). Le texte écrit n'a aucun pouvoir d'évocation, il n'est que l'empreinte graphique de ce qui est dit, une sorte d'aide-mémoire. | ||||||||
Flexion nominale[modifier | modifier le code] | ||||||||
Des désinences complètent les thèmes décrit ci-dessus, afin de constituer des mots fléchis pouvant entrer en contexte (samhitâ) dans une phrase. | ||||||||
La catégorie de nom recouvre en sanskrit les noms, pronoms, noms de nombre et adjectifs. En sanskrit un nom se décline: il ajoute au thème nu une désinence qui indique le genre, le nombre, et le cas du mot rendu capable de rejoindre une phrase. | ||||||||
Les trois genres sont: le masculin, le féminin, le neutre. | ||||||||
Les trois nombres sont: le singulier, le duel, le pluriel. | ||||||||
Les cas sont au nombre de 8: le nominatif, l'accusatif, l'instrumental, le datif, l'ablatif, le génitif, le locatif, le vocatif. | ||||||||
Les désinences : | ||||||||
Flexion verbale[modifier | modifier le code] | ||||||||
La construction d'un verbe se forme à partir de sa racine. On note un alternance vocalique de la racine en fonction du genre, du nombre et du temps utilisé. Trois systèmes de conjugaisons existent : le présent, l'aoriste, le parfait. | ||||||||
Les genres : masculin, féminin, neutre. | ||||||||
Les nombres : singulier, duel, pluriel. | ||||||||
Les voix : actif, moyen, (le passif dispose d'un thème propre). | ||||||||
Les temps du système du présent : le présent, l'imparfait, le futur, l'injonctif, le subjonctif, l'optatif présent, l'impératif présent, le participe présent, le participe passé, le passif, le causatif, le dénominatif, le désidératif, l'intensif, l'absolutif, le futur périphrastique. | ||||||||
Les temps du système du parfait : | ||||||||
Les temps du système de l'aoriste : | ||||||||
Tableau récapitulatif | Voix active | Voix médiane | ||||||
Singulier | Duel | Pluriel | Singulier | Duel | Pluriel | |||
Primaire | Première personne | mi | vás | más | é | váhe | máhe | |
Deuxième personne | si | thás | thá | sé | ā́the | dhvé | ||
Troisième personne | ti | tás | ánti, áti | té | ā́te | ánte, áte | ||
Secondaire | Première personne | am | vá | má | í, á | váhi | máhi | |
Deuxième personne | s | tám | tá | thā́s | ā́thām | dhvám | ||
Troisième personne | t | tā́m | án, ús | tá | ā́tām | ánta, áta, rán | ||
Parfait | Première personne | a | vá | má | é | váhe | máhe | |
Deuxième personne | tha | áthus | á | sé | ā́the | dhvé | ||
Troisième personne | a | átus | ús | é | ā́te | ré | ||
Impératif | Première personne | āni | āva | āma | āi | āvahāi | āmahāi | |
Deuxième personne | dhí, hí, — | tám | tá | svá | ā́thām | dhvám | ||
Troisième personne | tu | tā́m | ántu, átu | tā́m | ā́tām | ántām, átām | ||
Les suffixes primaires sont utilisés avec les formes présente, indicative et future. Les suffixes secondaires sont utilisés avec les temps imparfait, conditionnel, aoriste et optatif. Les suffixes parfait et impératifs sont utilisés avec le parfait et l'impératif respectivement. | ||||||||
Mots invariables[modifier | modifier le code] | ||||||||
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Syntaxe[modifier | modifier le code] | ||||||||
La syntaxe étudie l'emploi des cas, l'usage des temps et modes verbaux, la composition nominale et la phrase nominale. | ||||||||
Composition nominale[modifier | modifier le code] | ||||||||
La composition est un trait notable du système nominal du sanskrit. Elle permet de joindre en un thème deux thèmes indépendants qui forment dès lors un mot composé. Dans la langue littéraire, de tels mots composés peuvent contenir jusqu’à plusieurs dizaines de thèmes, comme cela arrive dans certaines langues modernes comme l’allemand ou le finnois. Les composés nominaux obéissent morphologiquement à la règle suivante : seul le dernier thème du composé porte la désinence flexionnelle, et le genre du composé est celui de ce dernier thème ; les autres constituants, quel qu’en soit le nombre, figurent sous la forme du thème nu (sans désinences). Les paradigmes des quatre sortes de composés en sanskrit furent repris par la linguistique moderne pour signaler divers modes de composition dans d'autres langues que le sanskrit. | ||||||||
Composés de type dvandva (composés copulatifs, ou coordonnés) : Ce type de composés juxtapose des mots formant une énumération de deux ou plusieurs éléments. Le composé porte une désinence duelle s'il comporte deux éléments, une désinence plurielle s'il comporte plus de deux éléments, une désinence du neutre singulier si l'on considère que les éléments forment un tout (exemple : mâtâpitâ, formé de mâtṛ, mère, et de pitṛ, père, signifie les parents). | ||||||||
Composés de type bahuvrîhi (composés exocentriques, ou possessifs) : Ces composés se rapportent à un référent qui n'est directement lié à aucun des constituants du mot, mais dont ils indiquent un trait distinctif permanent ou contingent (exemple : le terme bahuvrihi est lui-même un mot composé de bahu, beaucoup et de vrîhi, riz ; il s'applique à un champ pour en dénoter la grande fertilité). Grammaticalement, ce type de composés s'accordent en genre et en nombre avec le terme auquel ils se réfèrent. | ||||||||
Composés tatpurusha (IAST tatpuruṣa): | ||||||||
Composés karmadhâraya : | ||||||||
Notes et références[modifier | modifier le code] | ||||||||
1. ↑ Les mots sanskrits seront cités dans le texte en caractères italiques et sous la forme du thème, l'absence de désinence étant marquée par un tiret (exemple : deva-). Les signes diacritiques souscrits de la translittération genevoise comprennent un point souscrit à la lettre qu'il modifie (exemple : as.t.a-), le n surmonté d'un point diacritique en translittération genevoise figurera sous la forme n' (exemple : an'ga-). Le s surmonté d'un accent aigu dans la translittération genevoise figurera sous la forme s' (exemple : s'ruti-). Bien que le sanskrit n'utilise pas de majuscules, l'initiale des noms propres sera transcrite en capitale (exemple : Patañjali-). Cette transcription "dactylographique" rend les termes sanskrits directement lisibles. Pour les puristes, ces mots seront aussi notés en écriture devanâgarî-, suivis de leur translittération genevoise illisible sans l'usage de la page d'aide Unicode (car elle présente à l'écran des carrés vides, des points d'interrogations, etc.). | ||||||||
Voir aussi[modifier | modifier le code] | ||||||||
Sur les autres projets Wikimedia : |
||||||||
Grammaire du sanskrit, sur Wikiversity | ||||||||
Bibliographie[modifier | modifier le code] | ||||||||
Ouvrages généraux[modifier | modifier le code] | ||||||||
Françoise Bonnefoy et dix-sept autres auteurs, Chronologie de l'histoire mondiale : grands événements classés par année (de 4000 av. J.-C. à 1977 de notre ère) et par rubrique (208 pages), grands hommes cités dans un tableau synoptique (de 700 av. J.-C. à 1977 de notre ère) en 57 pages polychromes, index alphabétique, et quatorze planisphères historiques, collection Chronos, Sélection du Reader's Digest, première édition, Paris, 1978, 378 pages. | ||||||||
(Le tableau synoptique cite de nombreux grands indiens, de Bouddha à Gandhi, mais l'histoire de l'Inde commence, dans la section événements, en 2000 av. J.-C.). | ||||||||
Georges Ifrah, Histoire universelle des chiffres, ouvrage publié avec le concours du Centre national de la recherche scientifique, Editions Seghers, Paris, 1981, 568 pages. | ||||||||
(Origine des chiffres "indo-arabes" au chapitre 30, informations relatives aux écritures indiennes anciennes, et repères chronologiques en fin d'ouvrage). | ||||||||
Nadine Stchoupak, Chrestomathie sanskrite, préfacée par Louis Renou, publication de l'institut de civilisation indienne, Librairie d'Amérique et d'Orient, Adrien Maisonneuve, Jean Maisonneuve successeur, Paris, 1977, 88 pages. | ||||||||
(Contient une rareté : un lexique du français au sanskrit). | ||||||||
Krishna Baldev Vaid, Histoire de renaissances, nouvelles présentées et traduites du hindi par Annie Montaut, avec le concours du Centre national du livre, ouvrage bilingue hindi-français, Langues & Mondes, l'Asiathèque, Paris 2002, 211 pages (ISBN 2-911053-81-8) | ||||||||
(Pour se familiariser avec l'écriture nâgarî- contemporaine). | ||||||||
Alexandre Langlois, membre de l'Institut, Rig-Véda ou livre des hymnes, traduit du sanscrit, deuxième édition datée de 1872 revue, corrigée et augmentée d'un index analytique par Ph. Ed. Foucaux, réimpression en 1984, Librairie d'Amérique et d'Orient, Jean Maisonneuve successeur, Paris, 646 pages (ISBN 2-7200-1029-4) | ||||||||
(Nombreuses transcriptions de mots sanskrits « à la française », antérieures au Xe Congrès des Orientalistes en 1894). | ||||||||
Grammaires[modifier | modifier le code] | ||||||||
Louis Renou, Grammaire sanskrite, Paris, 1935 | ||||||||
Louis Renou, Grammaire védique, Paris, 1952 | ||||||||
Louis Renou, Grammaire sanskrite élémentaire, 109 pages, Librairie d'Amérique et d'Orient, Adrien Maisonneuve, J.Maisonneuve, succ., Paris, 1978. | ||||||||
Jan Gonda, professeur à l'université d'Utrecht, (traduit de l'allemand par Rosane Rocher, aspirant du fonds national belge de la recherche scientifique), Manuel de grammaire élémentaire de la langue sanskrite, 173 pages, E.J. Brill, Leiden, & Adrien Maisonneuve, Paris, 1966 (Éd. revue et corrigée 1997, réimpression 2002). | ||||||||
Jean Varenne, professeur à l'université de Provence, Grammaire du sanskrit 128 pages, Presses Universitaires de France, collection "Que sais-je" n° 1416, Paris, (ISBN 9782130358947) | ||||||||
Sylvain Brocquet, Grammaire élémentaire et pratique du sanskrit classique, avec exercices corrigés et textes, Bruxelles, Safran (éditions), coll. « Langues et cultures anciennes », 2010, 544 p. (ISBN 978-2-87457-020-9) | ||||||||
Manfred Mayerhofer, Grammaire de sanskrit accompagnée d’explications de linguistique comparée. Traduite par Fabrice Duvinage [archive] | ||||||||
Sylvain Brocquet, Grammaire élémentaire et pratique du sanskrit, 592 pages, 2e édition, Safran (ISBN 978-2-87457-086-5) | ||||||||
Lexiques[modifier | modifier le code] | ||||||||
Monier Monier-Williams, A sanskrit-english Dictionary, Oxford, 1899 (mis en ligne par l'Université de Cologne sous le titre Monier-Williams Sanskrit-English Dictionary - Révision 2008). | ||||||||
N. Stchoupak, L. Nitti et Louis Renou, Dictionnaire sanskrit-français, 897 pages, Librairie d'Amérique et d'Orient, Jean Maisonneuve Successeur, Paris 1932, réédition 1987 (réimpression, 2008) (ISBN 2-7200-1049-9) | ||||||||
(en) R.S.McGregor, Oxford Hindi-English Dictionary, 1083 pages, Oxford University Press, Delhi, 1993 (réimpression 2002). (ISBN 0-19-864339-X) | ||||||||
Cet ouvrage contient de nombreux mots sanskrits en devanâgarî et translittération genevoise. | ||||||||
Gérard Huet, Dictionnaire Héritage du Sanscrit (mis en ligne depuis le 10 décembre 2008). Dernière mise à jour: version 3.20 du 1er décembre 2019. Consulté le 23 décembre 2019, 994 pages téléchargeables (PDF). | ||||||||
Article connexe[modifier | modifier le code] | ||||||||
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||||||||
Wikipédia en sanskrit. | ||||||||
Indologie | ||||||||
Liens externes[modifier | modifier le code] | ||||||||
Manfred Mayerhofer (trad. Fabrice Duvinage), Grammaire de sanskrit accompagnée d’explications de linguistique comparée [archive], 62 p. | ||||||||
(en) Monier Williams, Sanskrit-English Dictionary [archive] | ||||||||
(fr),(en) Gérard Huet, Dictionnaire Héritage du sanscrit/ The Sanskrit Heritage Dictionary [1] [archive]. | ||||||||
v · m | ||||||||
Terme de la grammaire du sanskrit | ||||||||
Abhyāsa • Anusvāra • Avagraha • Bindu • Chandrabindu • Dhātu • Devanāgarī • Sandhi • Virāma • Visarga • Vyākaraṇa | ||||||||
Écritures du sanskrit | ||||||||
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Certaines informations figurant dans cet
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Les écritures du sanskrit sont variées à travers l'histoire. | ||||||||
Sommaire | ||||||||
1Les écritures du sanskrit | ||||||||
1.1Épigraphie | ||||||||
1.2Translittération genevoise | ||||||||
1.3Transcription dactylographique | ||||||||
2Notes et références | ||||||||
3Bibliographie | ||||||||
3.1Grammaires | ||||||||
3.2Lexiques | ||||||||
4Voir aussi | ||||||||
4.1Articles connexes | ||||||||
4.2Liens externes | ||||||||
Les écritures du sanskrit[modifier | modifier le code] | ||||||||
Longtemps de tradition purement orale, ou peut-être progressivement à l'aide de symboles logographiques ou idéographiques, voire de signes syllabiques (via l'acrophonie) liés aux cultes, la religion hindouiste n'a pas eu besoin de fixer ses textes. C'est tardivement que l'emploi de la brāhmī, d'abord (semi-syllabaire utilisé pour les Édits d'Ashoka), puis de la multitude d'écritures qui en dérivent, est généralisé, pour les textes profanes, puis sacrés. | ||||||||
Chaque région de l'Inde utilise l'écriture qui lui sert pour noter sa propre langue afin d'écrire les textes sanskrits . Le sanskrit n'a ainsi pas d'écriture attitrée et, surtout, peut être noté par différents semi-syllabaires, qui doivent donc être capables de représenter certains phonèmes dont ils n'ont pas l'usage autrement. On peut donner un exemple de cette souplesse d'emploi des écritures indiennes avec une même phrase sanskrite notée dans plusieurs graphies : | ||||||||
Que Śiva bénisse les amateurs de la langue des dieux. (Kālidāsa) | ||||||||
Au début du viie siècle, à l'époque de la dynastie chinoise de la dynastie Tang, lorsque le grand chercheur bouddhiste chinois Xuanzang étudia le dharma bouddhique en Inde et d’où il ramena en Chine des centaines de soutras et commentaires, l'écriture utilisée en Inde et celle des textes bouddhiques était une écriture appelée le siddham, Xītán 悉昙 en chinois. | ||||||||
Ce sont les colons britanniques qui, pendant leur suprématie, ont imposé une de ces écritures, la devanāgarī, elle aussi issue de la brāhmī. C'est maintenant en devanāgarī que l'on écrit majoritairement le sanskrit en Inde et dans les éditions occidentales. La Chrestomathie sanskrite de Nadine Stchoupak permet d'exercer la lecture de la nāgarī- ancienne. Les nouvelles de Kriṣṇa Baldev Vaid : Histoire de renaissances en édition bilingue hindi-français, permet de lire la nāgarī- moderne. (Ces livres sont cités dans la bibliographie en fin d'article). | ||||||||
En outre, en se transmettant par le bouddhisme, des termes sanskrits ont été adaptés en chinois puis en japonais, dont les écritures logographiques réclament la création de caractères phonétiques destinés à cet usage ou l'utilisation de caractères indépendamment de leur sens ; ainsi, le terme sanskrit bodhisattva est noté par 菩提薩埵, qui se lisait vraisemblablement bu-dej-sat-thwa en moyen chinois (de nos jours pútísāduò, abrégé en 菩薩 (púsà), d'où vient d'ailleurs le mot français poussah, « jouet à bascule » puis « gros homme ventru et débonnaire »). De ces caractères seuls 提 (tí), « tirer », et 埵 (duǒ), « terre compacte », ont un sens, qui est évincé dans le composé au profit du son, tandis que 菩 et 薩 n'ont jamais servi qu'à cette transcription et n'ont par ailleurs aucune signification. | ||||||||
Enfin, le Xe congrès des Orientalistes fixa, en 1894 à Genève, une transcription latine qui, de nos jours, est la seule utilisée dans les ouvrages didactiques occidentaux. C'est cette même transcription, qui, quelque peu augmentée, permet aussi de transcrire toutes les autres langues indiennes, qu'elles soient ou non indo-aryennes, au moyen des mêmes symboles. Cette transcription est décrite en détail dans l'article consacré à la transcription traditionnelle des langues de l'Inde. | ||||||||
L'étude de l'écriture de la civilisation de l'Indus, basée sur des sceaux et des empreintes de sceaux « harappéens » datés du IIIe millénaire av. J.-C., conduit certains chercheurs, notamment indiens, à suggérer qu'elle exprimait aussi, non pas une langue dravidienne (opinion la plus répandue), mais bien, au moins sur certains documents dénotant des rites pré-hindous assez explicites, une langue indo-iranienne voire indo-aryenne. | ||||||||
Plus récemment, un linguiste a proposé également, sur la base des fréquences de caractères et de l'épigraphie comparée, de discerner dans le crétois minoen noté en linéaire A (écriture syllabique de la première moitié et du milieu du IIe millénaire av. J.-C. en Crète) une langue de la famille indo-iranienne, dont le niveau religieux de langue (appliqué aux tables à libation de pierre) s'apparente étroitement au sanskrit védique ancien (voir références et liens, infra). Des théonymes comme Indra, Asura, y auraient leurs équivalents (I(n)tar, Asirai) qui ne sont pas sans rappeler des divinités du Mitanni et celles de l'Iran pré-islamique. | ||||||||
Épigraphie[modifier | modifier le code] | ||||||||
L'écriture cunéiforme s'efface au Moyen-Orient, vers le ve siècle av. J.-C., devant l'écriture et la numération araméennes qui se diffusent vers le soleil levant jusque dans l'immense vallée de l'Indus1. À cette époque seize royaumes s'amalgament, en Inde orientale, en quatre états puissants dont l'hégémonique Magadha. | ||||||||
En 364 av. J.-C. la dynastie des Nandas s'impose (nanda- joie2), lorsque paraît en Inde une écriture dérivée de l'araméenne, la kharoṣṭhī- qu'utilisent ensuite les Mauryas (maurya-), de Chandragupta l'ancien (Candragupta-) qui renverse les Nandas en 321 av. J.-C. jusqu'au règne du puissant Ashoka (Aśoka- sans souci), mort en 232 av. J.-C., durant lequel naît la première écriture vraiment indienne, la brāhmī-, utilisée conjointement avec la kharoṣṭhī- pour graver les édits du grand monarque sur des stèles de pierre. | ||||||||
Parmi les écritures utilisées à l'époque (supposée) de Patañjali au iie siècle av. J.-C., la brāhmī-, lettres et chiffres, fut utilisée pour des inscriptions bouddhistes dans les grottes de Nana Ghat, qui montrent aussi une nouvelle écriture, dérivée de la brāhmī-. Un siècle plus tard, la même écriture dérivée est gravée dans les grottes de Nasik-sur-Godavari, qui utilise les chiffres de 1 à 9 non encore régis par une règle numérale de position3. | ||||||||
Au millénaire suivant, la dynastie Gupta atteint son apogée sous Candragupta II (375-413), (gupta, protégé, du dieu-lune candra). Sous son règne fleurit une écriture gupta- dont dérivent les écritures successives de l'Asie centrale et de l'Inde du nord. Des inscriptions en pallava (pallava- une fleur, un rameau), chaloukya (cālukya-), et vallabhi (vallabhī- bien-aimée) datent de la même époque, en graphies dont dériveront les systèmes d'écriture méridionaux. En 458 parait, dans une cosmologie jaïniste écrite en sanskrit (le lokavibhāga-, vibhāga- partage, loka- du monde), la règle numérale de position selon la base 10, reprise par les astronomes Âryabhata- en 510 et Varāhamihira- en 575 (varāha- sanglier, mihira- soleil ; perses, grecs et romains influencèrent ce grand savant). De 598 date la plus ancienne inscription sanskrite du… Cambodge (une date : an 520 de l'ère śaka- scythe). | ||||||||
De la brāhmī- dérivent donc les nombreuses écritures utilisées en Inde jusqu'à ce jour. L'une d'elles, parrainée par les britanniques durant leur Empire des Indes, est la devanāgarī- qui, légèrement transformée, permet d'écrire la langue hindī- contemporaine. Le sanskrit peut s'écrire en devanāgarī-, préférée par l'Université, mais aussi dans toute autre écriture indienne, tamoul (tamil-), télougou (telugu-), malayalam (malayāḷam- la plus méridionale de toutes), etc. | ||||||||
Translittération genevoise[modifier | modifier le code] | ||||||||
La difficulté d'imprimer les caractères nāgarī- en Occident imposa aux érudits européens l'usage de diverses transcriptions utilisant les particularités de leurs langues d'origine. Au xixe siècle fleurirent des transcriptions allemandes, anglaises, françaises… La traduction française du Rigveda- par Alexandre Langlois (1788 - 1854), rééditée en 1872, offre un exemple pertinent de cette diversité (voir bibliographie en fin d'article). | ||||||||
Le Xe Congrès des Orientalistes, réuni à Genève en 1894, codifia une translittération de l'écriture devanāgarī- qui fait depuis lors autorité pour les ouvrages didactiques édités par les universités. Cette translittération utilise des caractères empruntés à l'alphabet latin, et les signes diacritiques suivants : petit cercle (°) et point (.) souscrits, accent aigu (´) et tilde (~). | ||||||||
Voici le tableau des caractères de l'alphabet (akṣarasamāmnāya-) classés selon l'ordre traditionnel utilisé par les dictionnaires, en Translittération genevoise : | ||||||||
a ā i ī u ū ṛ ṝ ḷ | ||||||||
e ai o au | ||||||||
ḥ ṃ | ||||||||
k kh g gh ṅ | ||||||||
c ch j jh ñ | ||||||||
ṭ ṭh ḍ ḍh ṇ | ||||||||
t th d dh n | ||||||||
p ph b bh m | ||||||||
y r l v | ||||||||
ś ṣ s h | ||||||||
Transcription dactylographique[modifier | modifier le code] | ||||||||
À défaut de moyens dactylographiques capables d'écrire correctement ce qui précède, certains textes omettent les signes diacritiques (tels petits cercles (°) et points (.) souscrits), et utilisent franchement ç4 et sh pour noter les deux caractères originaux correspondant à (ś) et à (ṣ), et ri pour noter la voyelle ṛ (çiva ou shiva pour śiva-, ashta pour aṣṭa-, et rishi pour ṛṣi-, par exemple). L'usage du ç s'explique : ç est le caractère de l'alphabet phonétique international (de l'Association phonétique internationale, sigle : API, fondée en 1886 par Paul Passy) qui correspond le mieux à la prononciation de la fricative ś du sanskrit. | ||||||||
Le Petit Larousse grand format 2006 transcrit les mots sanskrits sans utiliser aucun signe diacritique (ainsi lit-on Mahabharata pour mahâbhârata-) et fournit toujours une orthographe la plus proche du français (il donne télougou pour telugu-). Cet article s'adresse à des francophones et suit donc cet usage pour faciliter l'emploi de liens internes et externes. Toutefois, chaque citation francisée est suivie par le mot sanskrit en transcription dactylographique pour permettre au lecteur de s'approcher au plus près de la prononciation classique indienne du sanskrit, langue éminemment orale. | ||||||||
Une consultation rapide de l'écran sans l'aide d' Unicode rend les mots translittérés illisibles, et cet article utilise donc la transcription dactylographique utilisant les caractères notés ci-dessus entre parenthèses qui, dans une version ultérieure, est suivie d'une brève traduction française, de la calligraphie devanâgarî-, et de sa translittération genevoise à traiter par Unicode pour être lisible. | ||||||||
Exemple : / as.t.a- / (en français : huit) / (en devanāgarī- : अष्ट) / (translittération : aṣṭa) / | ||||||||
Notes et références[modifier | modifier le code] | ||||||||
1. ↑ cette section se réfère à deux ouvrages utiles : | ||||||||
Chronologie de l'histoire mondiale, collection Chronos, permet de situer hommes et faits indiens remarquables parmi les événements importants de l'histoire universelle (voir bibliographie ci-dessous). | ||||||||
Histoire universelle des chiffres de Georges Ifrah (né en 1947) décrit, outre les systèmes de numération des premiers hommes à nos jours, l'histoire des chiffres et des lettres, dont celle des écritures indiennes (voir bibliographie ci-dessous). | ||||||||
2. ↑ http://sanskrit.inria.fr/DICO/34.html#nanda [archive] | ||||||||
3. ↑ deux remarques : | ||||||||
Nana Ghat fut-il le lieu de différents (nānā-) meurtres (ghāta-) ? | ||||||||
Quant à Nasik, le Ramayana raconte que Lakshmana (Lakṣmaṇa-), frère de Rama, y coupa le nez (nāsika-) de la sœur du démon Ravana (Râvaṇa-) (l'abondance de vocabulaire en ces pages familiarise l'esprit avec des mots qu'analysera ensuite la section de morphologie). | ||||||||
4. ↑ L'usage du ç dans la transcription du sanskrit est devenu obsolète (The Sanskrit Heritage Dictionary, page 4 - version 250 du 6 janvier 2011 -) | ||||||||
Bibliographie[modifier | modifier le code] | ||||||||
Françoise Bonnefoy et dix-sept autres auteurs, Chronologie de l'histoire mondiale : grands événements classés par année (de 4000 av. J.-C. à 1977 de notre ère) et par rubrique (208 pages), grands hommes cités dans un tableau synoptique (de 700 av. J.-C. à 1977 de notre ère) en 57 pages polychromes, index alphabétique, et quatorze planisphères historiques, collection Chronos, Sélection du Reader's Digest, première édition, Paris, 1978, 378 pages. | ||||||||
(Le tableau synoptique cite de nombreux grands indiens, de Bouddha à Gandhi, mais l'histoire de l'Inde commence, dans la section événements, en 2000 av. J.-C.). | ||||||||
Georges Ifrah, Histoire universelle des chiffres, ouvrage publié avec le concours du Centre national de la recherche scientifique, Editions Seghers, Paris, 1981, 568 pages. | ||||||||
(Origine des chiffres "indo-arabes" au chapitre 30, informations relatives aux écritures indiennes anciennes, et repères chronologiques en fin d'ouvrage). | ||||||||
Nadine Stchoupak, Chrestomathie sanskrite, préfacée par Louis Renou, publication de l'institut de civilisation indienne, Librairie d'Amérique et d'Orient, Adrien Maisonneuve, Jean Maisonneuve successeur, Paris, 1977, 88 pages. | ||||||||
(Contient une rareté : un lexique du français au sanskrit). | ||||||||
Krishna Baldev Vaid, Histoire de renaissances, nouvelles présentées et traduites du hindi par Annie Montaut, avec le concours du Centre national du livre, ouvrage bilingue hindi-français, Langues & Mondes, l'Asiathèque, Paris 2002, 211 pages (ISBN 2-911053-81-8) | ||||||||
(Pour se familiariser avec l'écriture nâgarî- contemporaine). | ||||||||
Alexandre Langlois, membre de l'Institut, Rig-Véda ou livre des hymnes, traduit du sanscrit, deuxième édition datée de 1872 revue, corrigée et augmentée d'un index analytique par Ph. Ed. Foucaux, réimpression en 1984, Librairie d'Amérique et d'Orient, Jean Maisonneuve successeur, Paris, 646 pages (ISBN 2-7200-1029-4) | ||||||||
(Nombreuses transcriptions de mots sanskrits « à la française », antérieures au Xe Congrès des Orientalistes en 1894). | ||||||||
Grammaires[modifier | modifier le code] | ||||||||
Louis Renou, Grammaire sanskrite, Paris 1935 | ||||||||
Louis Renou, Grammaire védique, Paris 1952 | ||||||||
Louis Renou, Grammaire sanskrite élémentaire, 109 pages, Librairie d'Amérique et d'Orient, Adrien Maisonneuve, J.Maisonneuve, succ., Paris 1978. | ||||||||
Jan Gonda, professeur à l'université d'Utrecht, (traduit de l'allemand par Rosane Rocher, aspirant du fonds national belge de la recherche scientifique), Manuel de grammaire élémentaire de la langue sanskrite, 173 pages, E.J. Brill, Leiden, & Adrien Maisonneuve, Paris, 1966 (Éd. revue et corrigée 1997, réimpression 2002). | ||||||||
Jean Varenne, professeur à l'université de Provence, Grammaire du sanskrit 128 pages, Presses Universitaires de France, collection "Que sais-je" n° 1416, Paris 1971 (ISBN 9782130358947) | ||||||||
Sylvain Brocquet, Grammaire élémentaire et pratique du sanskrit, 592 pages, 2e édition, Safran (ISBN 978-2-87457-086-5) | ||||||||
Lexiques[modifier | modifier le code] | ||||||||
Monier Monier-Williams, A sanskrit-english Dictionary, Oxford, 1899 (mis en ligne par l'Université de Cologne sous le titre Monier-Williams Sanskrit-English Dictionary - Révision 2008). | ||||||||
N. Stchoupak, L. Nitti et Louis Renou, Dictionnaire sanskrit-français, 897 pages, Librairie d'Amérique et d'Orient, Jean Maisonneuve Successeur, Paris 1932, réédition 1987 (réimpression, 2008) (ISBN 2-7200-1049-9) | ||||||||
(en) R.S.McGregor, Oxford Hindi-English Dictionary, 1083 pages, Oxford University Press, Delhi, 1993 (réimpression 2002) (ISBN 0-19-864339-X) | ||||||||
Cet ouvrage contient de nombreux mots sanskrits en devanâgarî et translittération genevoise. | ||||||||
Gérard Huet, Héritage du sanskrit dictionnaire sanskrit-français, 493 pages au format PDF (mis en ligne depuis le 10 décembre 2008 sous le titre The Sanskrit Heritage Dictionary). | ||||||||
Voir aussi[modifier | modifier le code] | ||||||||
Articles connexes[modifier | modifier le code] | ||||||||
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Wikipédia en sanskrit. | ||||||||
Indologie | ||||||||
Grammaire du sanskrit | ||||||||
Liens externes[modifier | modifier le code] | ||||||||
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Écritures du sanskrit, sur Wikiversity | ||||||||
Manfred Mayhofer, Grammaire de sanskrit accompagnée d’explications de linguistique comparée traduite en français par Fabrice Duvinage [archive] | ||||||||
Monier Williams, Sanskrit-English Dictionary [archive] | ||||||||
Gérard Huet, The Sanskrit Heritage Dictionary [archive] |